- Le rapport de Simon Tremblay-Pépin sur les assos générales à l'UQAM (pdf). (Voir "On fait dur en ©#!??" de Catherine Handfield dans le Montréal Campus du 8 novembre 2006 pour voir le point de vue de quelqu'un qui n'a rien compris, mais alors rien du tout, au rapport et à l'histoire du mouvement étudiant.)
- On a souvent pu m'entendre, depuis l'hiver 2005, traiter les fédérations (FECQ, FEUQ, CADEUL, FEUS, etc.) de bradeurs sans foi ni loi. Je me dois toutefois de reconnaitre la qualité de l'étude "Étude sur les marchés d’alimentation de la région de Sherbrooke" réalisée par la Fédération étudiante de l'Université Sherbrooke.
- Encore à Sherbrooke, il faut signaler le travail de François Landry, « MÊLEZ-VOUS DE VOS AFFAIRES… MAIS MÊLEZ-VOUS-EN! »: LE MOUVEMENT ÉTUDIANT À L’UNIVERSITÉ DE SHERBROOKE (1955 – 1982) (pdf, plusieurs méga-octets).
- Et, s'il-vous-plait, les 2-3 dernières entrées de ce blog, qui sont pas si emmerdante que ça, j'vous jure
M'enfin. Comme on dit par chez moi: assez c'est assez. Continuons le combat.
1 commentaire:
Un passant (qui a effacé son commentaire quelques secondes après l'avoir écrit) m'a fait remarqué que la CADEUL, la FEUS, la FEUQ et la FECQ sont des organisations très différentes.
Si je les regroupes, c'est parce qu'elles pratiquent toute le syndicalisme d'affaire (et le syndicalisme de boutique aussi, au moins pour la CADEUL). Je tiens ces types de syndicalismes comme contraire à l'intérêt des étudiants. D'où ma colère (et celle de beaucoup d'autres).
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