- Que les fédés auraient du donner le droit de vote aux assos non-membres.
- Que les indépendants (même si, à l'époque, McGill n'avait pas encore officiellement quitté la FEUQ) n'aurait pas du quitter la salle: ils auraient du rester pour influencer le débat.
- Que le mouvement étudiant doit faire preuve de "maturité" et mettre fin aux "guerres de bannières"
La première proposition a du sens. La deuxième, comme l'ont fait remarquer plusieurs, est problèmatiques: "influencer le débat" n'a pas beaucoup de sens pour les assos qui ne considèrent les exécutants que comme des délégués qui doivent avoir des mandats d'AG.
La troisième, euh... qu'est-ce qu'on entend par "maturité"? Et y a-t-il guerre de bannière, du moins de la part de l'ASSÉ? Il y a effectivement eu des luttes référendaires à Bois-de-Boulogne (ou la FECQ a fait une folle d'elle, ce qui a été dénoncé par l'ASSÉ) et à Gérald-Godin. Mais autrement, les fédés sont critiquées surtout par des membres et des indépendants, et elles n'ont pas très bien répondu à ces critiques jusqu'à maintenant.
Édouard-Monpetit (FECQ), maintenant
Nous avons remarqué qu’il y a depuis la fin de la grève étudiante d’hiver 2005 une guerre de « membership » entre les différents regroupements nationaux.
Serait-il par contre possible de ne pas perdre de temps et de l'énergie à attaquer les différentes associations étudiantes ? Serait-t-il possible de se concentrer sur nos plans d’actions ?
On va me traiter de sale Asséiste, mais je regarde l'ASSÉ aller, et à part la distraction du vol (déplorable) des revues Ultimatums, ils ont l'air de garder le cap sur leurs revendications. Les regroupement nationaux qu'on a vu perdre leur temps sur des campus ou on ne les avait pas inviter, ce sont les fédés.
M'enfin.
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